vendredi 17 avril 2009
jeudi 16 avril 2009
Magic Hours
Mes paupières s’entrouvraient, j’étais là regardant le soleil
Naissant, les yeux vident de sens.
Fatigué, je voyageais à travers cet album 'How strange, Innocence'
Les thèmes mélodiques montant puis s’affaiblissant …
Quand je fermais les yeux je voyais les siens.
Cette chanson, me plongeait dans un coma de souvenirs 'Magic hours'.
A chaque note pointée, je la revoyais, convulsant de plaisir.
M’aveuglant, le soleil éclater les pores de ma peau
Le final de cette chanson me donne envie d’éructer.
L'instinct rêveur, j'attendais impatient...
Naissant, les yeux vident de sens.
Fatigué, je voyageais à travers cet album 'How strange, Innocence'
Les thèmes mélodiques montant puis s’affaiblissant …
Quand je fermais les yeux je voyais les siens.
Cette chanson, me plongeait dans un coma de souvenirs 'Magic hours'.
A chaque note pointée, je la revoyais, convulsant de plaisir.
M’aveuglant, le soleil éclater les pores de ma peau
Le final de cette chanson me donne envie d’éructer.
L'instinct rêveur, j'attendais impatient...
lundi 13 avril 2009
Une belle utopie !
Musique : Explosions in the Sky - Yasmin the light
Un lobe sur la touche, j’arrachais le bitume
J’allais enfin dans le bon sens…
En direction d’un monde utopique,
Le temps s’était une nouvelle fois arrêté.
Ses yeux, son nez, ses joues scintillaient dans chaque étoile.
A force de les contempler, je décollais…
Son sourire me foudroyant toujours aussi fort
La danse s’accélérait…
Ces attentats de charme véhiculeur de soupçons
me faisaient décollés... Je me foutais du reste
Ce soir là, je pouvais mourir con !
Le calme faisant suite à la tempête, mon corps flottait
Des lumières éclaboussaient mes pensées
Mon cœur ne demandait qu’à chavirer
Sagement j’attendais la prochaine marée
Puis le mal de mer s'est brutalement immiscé
La dure réalité écrasa mon cœur contre ce rocher
Sans avoir pu reprendre mon souffle
Je me noyais…
J’allais enfin dans le bon sens…
En direction d’un monde utopique,
Le temps s’était une nouvelle fois arrêté.
Ses yeux, son nez, ses joues scintillaient dans chaque étoile.
A force de les contempler, je décollais…
Son sourire me foudroyant toujours aussi fort
La danse s’accélérait…
Ces attentats de charme véhiculeur de soupçons
me faisaient décollés... Je me foutais du reste
Ce soir là, je pouvais mourir con !
Le calme faisant suite à la tempête, mon corps flottait
Des lumières éclaboussaient mes pensées
Mon cœur ne demandait qu’à chavirer
Sagement j’attendais la prochaine marée
Puis le mal de mer s'est brutalement immiscé
La dure réalité écrasa mon cœur contre ce rocher
Sans avoir pu reprendre mon souffle
Je me noyais…
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